Une première manche disputée dans des conditions difficiles (« ça tapait dur ! »). Avec cette 43e place, il n'a donc pas pu se qualifier pour la deuxième manche, même si, en bouclant le premier tracé en 1’01”12, il ne termine pas si loin des qualifiés du Top 30 : « Ce n'est pas une satisfaction mais c'est vrai que je ne suis qu'à 8 dixièmes. Mais il y a encore du boulot. Contrairement à d'habitude, j'ai fait preuve d'un peu trop d'impatience. J'y suis allé un peu trop direct. Le point clef, c'est ça, l'impression d'être trop direct. Après, c'est une étape. Il est certain que j'aimerais que ça aille plus vite pour moi. Plus vite, c'est acquis, mieux c'est. Mais il faut du temps. »
Rémy Falgoux disputera ce lundi, toujours à Alta Badia, les qualifications du géant parallèle : « Ce sera une vrai découverte pour moi », explique Rémy Falgoux.
Jean-Philippe Béal
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